Le diagnostic de l’asthme diffère souvent en fonction des gens.

Certains pensent qu’un sifflement quelconque est de l’asthme, mais ce n’est pas le cas. Plusieurs personnes pensent que le seul traitement est d’utiliser un inhalateur. C’est une maladie complexe qui se gère de plusieurs façons différentes et qui nécessitera de connaître plus de choses à son propos.



  1. Qu’est-ce que l’asthme exactement ?

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    Qu’est-ce que l’asthme exactement ?


    Les personnes récemment diagnostiquées, ou les parents d’enfants qui l’ont été se posent des questions sur ce qu’est vraiment cette maladie. En quelques mots, l’asthme est une maladie chronique des poumons qui provoquent des difficultés respiratoire et d’autres symptômes tels que le sifflement, l’oppression thoracique, l’essoufflement et la toux.

    Ces symptômes sont principalement causés par la constriction, la contraction des muscles, l’inflammation, la dilatation et l’irritation des voies respiratoires dans le poumon.

    Voici comment l’air circule chez un sujet sain :

    1. L’air entre par le nez ou la bouche

    2. Il continue ensuite son chemin dans la trachée

    3. Il pénètre dans les bronchioles

    4. Le sang est oxygéné au niveau des alvéoles pulmonaires

    5. L’air sort des poumons

    Pour les personnes asthmatiques, ces étapes sont différentes et plus compliquées. Les voies respiratoires sont très sensibles et pourraient réagir à de nombreux éléments déclencheurs, à savoir la fumée, le pollen et les infections.

    Cela mène à la constriction et l’inflammation des voies respiratoires qui causent l’obstruction de la circulation de l’air. L’inflammation et l’obstruction compliquent la respiration et provoquent les autres symptômes.

    L’asthme a un impact social considérable. Plus de 22 millions de personnes, dont 6 millions d’enfants en souffrent.

    Ce n’est pas une maladie statique. Vos symptômes s’intensifieront et s’atténueront au fil du temps avec des traitements basés sur la prévention et le contrôle de ces derniers et la réduction de l’inflammation.

    La manifestation de l’asthme varie d’une personne à une autre. Ce traumatisme peut agir différemment sur vous, son intensité évolue autrement comparée à d’autres souffrants.

    Si vous ou votre enfant êtes malade, faites du mieux que vous pouvez pour augmenter vos connaissances sur l’asthme afin de contrôler ses symptômes.

  2. Les causes de l’asthme

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    Les causes de l’asthme


    L’asthme a nettement évolué au cours des dernières décennies. Bien que ça cause exacte demeure inconnue, nombreux pensent que les facteurs suivants agissent ensemble pour causer cette maladie ou en sont des risques :

    • L’atopie, ou une prédisposition héréditaire à développer des allergies ;

    • Les antécédents familiaux d’asthme ;

    • La contraction d’infections respiratoire depuis le plus jeune âge ;

    • L’exposition à certains allergènes atmosphériques et aux infections virales pendant l’enfance (au cours du développement du système immunitaire) ;

    • Les autres allergènes, tels que les squames animales ;

    • La rhinite allergique ;

    • L’exposition à la fumée de cigarette ;

    • L’obésité ;

    • L’hyperréactivité des voies respiratoires (une réactivité exagérée des voies respiratoires à de nombreux stimuli).

  3. Le diagnostic de l’asthme et les différents types

    Etape 3/3 :

    Le diagnostic de l’asthme et les différents types

    Diagnostiquer l’asthme n’est jamais chose facile. Pour que votre médecin puisse le faire, il faut que vous ayez :
    1.
    Des symptômes compatibles avec l’asthme.
    2.
    Une diminution du débit d’air dans vos poumons qui s’accroît partiellement ou complètement de façon spontanée ou avec un traitement.

    Votre médecin traitant fera un historique détaillé sur vous et procédera à un examen physique, ainsi que des batteries de tests l’aidant à faire le diagnostic. Parmi ces tests figurent une exploration fonctionnelle respiratoire, une radio du thorax, ou quelques analyses sanguines.

    Il existe plusieurs types d’asthme. Être au courant de la spécificité du type d’asthme dont vous souffrez vous aide à suivre un traitement plus efficace.

    Voici quelques types d’asthme :

    • L’asthme allergique : Cela est lié au développement des symptômes suite à l’exposition aux allergènes tels que la fumée secondaire, la squame animale, les acariens, les cafards, ou les moisissures.

    • L’asthme induit par l’exercice (AIE) : Ayant un impact sur plus d’un cinquième des souffrants, l’AIE est caractérisé par la broncho constriction et les symptômes se développant pendant ou après l’exercice.

    • L’asthme professionnel : Cet état respiratoire courant résulte des expositions au milieu de travail.

    • L’asthme de type toux : Bien que la toux soit un symptôme courant de l’asthme, c’est généralement le plus significatif ou le seul pour cette variante.

    • L’asthme nocturne

    Les traitements de l’asthme

    Votre plan d’action contre l’asthme est au centre de votre traitement. Considérez cela comme votre feuille de route pour contrôler l’asthme parfait et diminuer ses symptômes.

    Votre plan, qui nécessitera un suivi régulier de la part de votre médecin, couvre les zones essentielles dont vous devez prendre soin pour éviter les désagréments de l’asthme :

    1. La vérification. Tout comme vérifier ce que vous achetez vous aide à minimiser vos dépenses, surveiller les symptômes de votre maladie augmente votre habilité à les contrôler. En sachant les fréquences et la gravité de ces symptômes, vous êtes mieux préparé pour mener des actions appropriées ou identifier à quel moment vous faites quelque chose d’incorrect.

    2. L’évitement des déclencheurs. Que ce soit la fumée de cigarette ou les squames de vos animaux domestiques, éviter une chose qui pourrait empirer vos symptômes est une stratégie clé pour contrôler les effets de l’asthme. Un petit carnet vous sera d’une aide très utile pour suivre l’évolution des symptômes et si vous ignorez les éléments déclencheurs.

    3. Un traitement médicamenteux. Votre traitement combinera la prise régulière et périodique de médicaments de contrôle et de soulagement quand vos symptômes surgiront. Il est important de savoir lequel utiliser et à quel moment, comment les prendre, et combien de fois vous devez vous en administrer.

    Un non-respect d’un traitement est la raison commune pour laquelle les patients échouent en ce qui concerne la maîtrise optimale de l’asthme.

    Dans certains cas, les souffrants utilisent des médicaments complémentaires ou alternatifs. Ces options ne remplacent pas votre traitement classique, mais elles peuvent parfois amoindrir la pratique de médecine traditionnelle dont vous avez besoin.

    Bien qu’il y ait souvent beaucoup moins de recherche ou de consensus sur leur efficacité contre l’asthme, ces traitements incluent des massages thérapeutiques, des suivis quotidiens, des techniques de respiration et certains suppléments.

    La plupart des traitements complémentaires sont sans danger et procurent d’autres bienfaits même si cela n’est pas forcément bon pour votre asthme.

    D’autres, à savoir les suppléments ou la phytothérapie, ont la propriété d’interagir avec d’autres traitements déjà en cours.

    Il serait donc judicieux de faire part de ces options à votre médecin avant de commencer pour être sûr qu’elles sont sans danger.

    N’arrêtez jamais votre traitement classique si vous souhaitez le remplacer par un autre avant d’avoir l’avis de votre médecin. En faisant cela, vous éviterez un séjour à l’hôpital.

    Quelques conseils

    L’asthme est une maladie chronique compliquée, et le gérer peut devenir un véritable défi. Toutefois, en accumulant vos connaissances et en entretenant une bonne relation avec votre médecin, vous ferez tout ce dont une personne ne souffrant pas d’asthme est capable de faire.

    Bien que ce traumatisme rende les choses un peu plus difficiles et crée des obstacles de temps à autre, mettre en place un plan, contrôler et mener des actions appropriées vous permettront de profiter pleinement de la vie.

    Associez-vous avec un docteur qui a un bon sens de la communication. Il y a certaines questions que vous devez poser pour que vous soyez sûr de suivre un traitement approprié, et une réponse claire est essentielle. Souvent, il faudra changer de médecin si vous n’êtes pas satisfait.