Études de cas À titre d’illustrations, le cas de deux collaborateurs sera pris. L’un des collaborateurs est celui contraint à fournir un rapport quotidien de ses activités. Il estime cela comme étant un effort inutile et du temps. Mais surtout, cet associé interprète cela comme un manque de confiance vis-à-vis de son travail. L’autre travailleur subit une ingérence constante de son chef. Ce dernier n’a en effet aucune compétence pour suivre le dossier. Certains cours de marketing adaptés au dossier ne lui ont pas été dispensés. De plus, le chef se trouve dans une localité éloignée et disposant d’une culture différente du lieu en question dans le dossier.



Analyse des faits. Deux points de vue peuvent être portés sur ces situations. En premier lieu, une absence de communication est observée. Cela nécessite un long travail. Pour les chefs de projets, le silence de leurs associés est souvent signe d’avancement. Cependant, ceci n’est pas toujours le cas. Les chefs ne sont souvent sollicités qu’en cas de problèmes. En second lieu, certains employés interprètent faussement le suivi de leur chef. Une intervention des managers peut être alors vécue comme une entrave au travail et surtout comme un manque de confiance. Par conséquent, les relations deviennent tendues.

Solutions proposées. Afin d’éviter ce genre de relations, certaines dispositions peuvent être prises. Premièrement, une meilleure communication entre les collaborateurs doit être établie. Ainsi, le chef se renseigne sur le travail de ses subordonnées. Les collaborateurs quant à eux informent leur chef de leur travail. Dans les mêmes cas, vous arrivez à terminer un travail seulement si l’on vous le demande. Comme vous êtes autonome, vous ne réagissez que lorsque votre travail est terminé.



Établir de bonnes relations Afin de tisser de bonnes relations avec votre supérieur, assurez-vous de faire régulièrement un point sur votre avancement. Vous n’êtes pas obligé de livrer reflet de la réalité. Dites simplement à votre chef que vous êtes content ou que votre projet avance bien, cela peut souvent suffire. Rien ne vous oblige à donner un état détaillé ; des généralités suffisent. Pour ce faire, informez votre chef sur le projet et son probable achèvement. Aussi, produisez un plan cohérent qui sera modifié selon la progression du travail et vos réflexions. De ce fait, vous rassurez les personnes avec qui vous travaillez. Dans la logique du chef de projet, lorsque vous ne dites rien donc vous n’avez pas avancé dans votre travail. Cela peut être angoissant quand l’échéance avance.

Une bonne assurance. Ce faisant, dans vos actions témoignez une connaissance du sujet traité. Dès lors, montrez de l’empathie vis-à-vis de votre chef. Des informations à votre égard et sur la manière dont vous fonctionnez au travail doivent être communiquées à votre chef. De ce fait, il ne sera pas pris au dépourvu et vous laissera faire facilement. En faisant un rapport volontaire et non forcé, vous redonnerez à votre chef la confiance que vous avez estimé perdue.