L’entreprise et la loi Comme toute institution, une entreprise est soumis à des lois.
Il y a aussi des lois qui régissent les employés.
Le nom respect de ces réglementations entrainent une sanction.
La sanction dépend toutefois de l’infraction perpétrée.



Les différents niveaux de sanction
Il y a un panel de sanction qui existe dans une entreprise.
Le plus classique est la simple mise à pied.
Bien évidement, l’amplitude de la faute commise peut conduire l’entreprise à prendre des mesures disciplinaires immédiates.
Toutefois, le licenciement peut être un dernier recours.
La taille de l’entreprise aussi a un rôle à jouer sur les sanctions données.
C’est le fait ou non que, le salarié, lors de l’entretien peut être accompagné d’un membre du délégué du personnel.
– A condition que l’entreprise en ait
– A condition que l’entreprise ait au moins onze salariés
Le licenciement est quelque chose de très délicat.

Les démarches en cas de sanction de travail Si une faute a été commise par un salarié :
– Il recevra un courrier de notification lui faisant part de sa faute
– Dans ce courrier, il aura une date d’entretien préalable
– Suite à l’entretien, le salarié recevra une autre notification
– Dans cette dernière, il saura la décision finale prise par son employeur
La sanction est tout de suite appliquée au moment où le salarié recevra la dernière notification.



Les paramètres qui entrent en jeu Plusieurs paramètres doivent être réunies avant de donner une sanction de travail.
– Le statut : Cadre ou employé ou agent de maîtrise
– L’ancienneté
Dans ce cas, il y a encore un ensemble points qui peuvent se traduire par un délai plus ou moins long entre le temps de réponse.
C’est le temps nécessaire à l’employeur avant de prendre sa décision.
Ceci étant fait parce qu’en droit français, une sanction de travail ne doit pas être prise en urgence.
Ce temps sera plus ou moins long suivant différents paramètres.